La famille « Bourlingue » un peu déjantée part visiter Le Louvre. Tout de suite, par les dessins de Nob, super drôles, le lecteur sait qu’il ne va pas faire une visite classique. Le texte est vivant, sous forme de dialogues et plein d’humour, avec les petites pointes habituelles dans un couple : devant la pyramide du Louvre : « il n’y a bien qu’ici que tu te préoccupes du boulot que représente le nettoyage des vitres !». Ils découvrent des murs de fortifications qui datent de la construction du Louvre vers 1200. Les enfants rapportent les informations à leur vie d’aujourd’hui, la Déesse « Like » leur fait penser bien sûr à la marque de leurs baskets… Les enfants se demandent bien ce que la Vénus de Milo pouvait faire avec ses bras ? Savez-vous quel est le plus grand tableau du Louvre ? Qu’est-ce que l’art ? Comment faisait-on pour être informé s’il fallait attendre que le tableau soit fini ? Un clin d’oeil à une émission, le tableau devient bien plus vivant quand on ajoute des dialogues ! Devant la statue d’ Aïn Ghazal,, l’œuvre la plus ancienne du Louvre, croyant que c’était une sculpture en pâte à sel, un des enfants commente « C’est bien ce que je disais… l’enfance de l’humanité ». La petite fille remarque qu’il n’y avait pas beaucoup d’artistes femmes au Louvre ! En fin d’ouvrage, un index des œuvres et le musée du Louvre en quelques chiffres : description, les œuvres et les visiteurs. A la fois super amusant et très instructif sur les œuvres les plus célèbres, cette bande dessinée est une intéressante préparation d’une visite au Louvre ou pour redécouvrir les œuvres.
Escroqueuse. Quand l’hypo frappe
Il y a presque un siècle, en janvier 1922, le premier patient recevait une dose d’insuline. Le diabète passait ainsi de maladie mortelle à maladie