Les lecteurs vont retrouver avec grand plaisir la grande qualité graphique et, dans un mélange de modernité et de tradition, des personnages attachants dont Hiro, un enfant pas comme les autres et les Robots-samouraïs. Le récit commence par une scène terrible au parc : « quelle horreur » , un robot est en train de fondre ! La maman de Hito se retrouve face à un redoutable personnage qui lui met un marché en main, elle restera captive pour que son fils soit soigné ! Elle sera enchainée à un terminal et ne reverra plus jamais son fils ! Scène déchirante où on voit partir Hito ! Le récit est captivant car les évènements se succèdent rapidement. La priorité est donnée à l’iconographie haute en couleurs dans des scènes incroyables, sans texte, où le lecteur est impressionné par la force du dessin. Le style est proche à la fois du jeu vidéo, du manga, nombreuses références à des scènes de cinéma, entrainant le lecteur dans un univers singulier, encore plus puissant que dans les deux précédents volumes. Recherche de pièces dans les ruines de la société humaine, scènes époustouflantes de violence inouïe pour neutraliser l’unité mobile ! Dans les petites vignettes comme les grands zooms sur les robots, la mise en scène est à couper le souffle ! La présidente veut récupérer les robots qui accompagnaient Hito, en particulier le « vieux Yojimbot ». La mère de Hito réussira t-elle à s’échapper ? Quels secrets lui seront révélés? Qui est-elle vraiment ? Tel un Don Quichotte, Yojimbot, réussira t-il à accomplir sa mission ? Une fin tragique. Hâte de connaitre la fin de cette série époustouflante à la fois science-fiction, entre post-apocalyptique et tradition.
Max et Zoé dingues de sciences. Tous à l’eau !
Les éditions Bayard lancent une nouvelle collection, Max et Zoé dingues de science, pour découvrir la science à travers les aventures de ces deux petits